Le vélo est l’un des moyens de transport le plus apprécié par les écologistes. Il s’agit d’un type de transport doté de pédales, de roues et d’un siège. Il n’est pas toujours pourvu d’éclairage à l’avant et l’arrière. Or, cela est primordial lorsqu’il faut rouler sur des voies non illuminées. Il devient alors crucial de choisir un éclairage pour son vélo. Pour le faire convenablement, il faut prendre en considération certains paramètres. Découvrez plus de détails ici.
Prendre en compte la puissance lumineuse nécessaire
Le Code de la route ne fournit aucune information concernant la puissance d’éclairage pour un vélo. Il ne précise pas non plus l’alimentation requise pour obtenir une puissance lumineuse spécifique. Toutefois, les normes industrielles en vigueur suggèrent que la tension électrique requise soit égale à six volts. Grâce à cela, il sera possible de générer une puissance d’éclairage supérieure ou égale à trois volts. Vous devez savoir qu’un Lux est sensiblement égal à l’intensité de la lumière produite par notre satellite lunaire. Ainsi, lorsque vous pratiquez habituellement des voies ne possédant pas d’illuminations, vous devez opter pour des phares d’au moins 20 Lux. Les lampes LED de la marque liggoo peuvent tout à fait convenir. Vous trouverez sur la plateforme de cette dernière un guide éclairage vélo pouvant vous fournir des informations supplémentaires sur celles-ci. Par contre, si les zones traversées à vélo profitent d’un bon éclairage, il est recommandé que vous en choisissiez ceux de 4 Lux.
Faut-il un éclairage à base de piles, de dynamo ou USB ?
Portez votre choix sur les piles si vous ne roulez pas fréquemment à vélo. Les personnes usant de ce mode de transport quotidiennement doivent privilégier celles qui peuvent être rechargées. Ces dernières ne peuvent être amortis qu’après une durée d’usage comprise entre 20 h et 40 h. L’éclairage à base de la dynamo constitue l’alternative la mieux adaptée pour les cyclistes détenant des vélos de ville. Ceux qui pratiquent du cyclotourisme sont également concernés par ce mode d’éclairage. Il leur faut une telle source d’énergie pour produire de la lumière, car elle est autonome et se synchronise parfaitement à la fréquence d’usage du vélo. Par ailleurs, les types d’éclairage par port USB sont très répandus. Ils sont avantageux, car ils sont à la fois puissants et pratiques. Ils sont également connus pour être très durables. Au regard de leur puissance, ces types d’éclairage par ports USB sont capables de produire une luminosité très intense.
Privilégier la fonction de feu de position en cas d’éclairage avec une dynamo
Le défaut majeur de la dynamo réside dans le fait qu’elle ne fournit plus le courant à l’arrêt du vélo. Cela entraine par conséquent l’extinction des phares. Afin d’apporter une solution définitive à ce problème, les nouveaux éclairages intègrent un condensateur qui se charge du stockage de l’énergie électrique. Ce procédé débute dès les premiers tours des roues. Grâce à ce composant électronique, lorsque ces dernières ne tournent plus, les lumières demeurent allumées. C’est « la fonction de feu de position ». Celle-ci a été conçue de telle sorte qu’elle puisse être compatible avec toutes les dynamos.
Afin de choisir convenablement le meilleur éclairage pour son vélo, il est important de prendre en compte, dans un premier temps, la puissance lumineuse nécessaire. Dans un deuxième temps, il vous faut opter pour une source d’énergie électrique adéquate. Ainsi, il est possible que vous choisissiez un éclairage basé sur des piles, une dynamo ou sur du rechargement par USB. Veillez à ce que votre vélo dispose de la fonction de feu de positon lorsque vous optez pour une dynamo.